Les plus belles réalisations de cet artisan, et bien d’autres encore, se trouvent dans le livre "Les armuriers Liégeois à travers leurs réalisation.

1800 - 1950".

Pour tous les détails voir : LES ARMURIERS LIEGEOIS

Meyers-Coune

Meyers-Coune

Il s’agit d’une carabine de type suisse modèle Martiny. La crosse à croche est typiquement du modèle suisse. Tandis que le mécanisme de l’arme est de type Martiny. Le canon à 8 pans comporte des organes de visée également du type suisse.

Cette arme porte les poinçons réglementaires du banc d’épreuves de Liège, à savoir :

ELG* dans un ovale couronné : acceptation définitive, en usage de 1893 à 1968.

R couronné : canon rayé, en usage de 1894 à 1968.

A* (si bien lu ?) : contremarque du contrôleur, en usage de 1877 à 1968.

Perron : inspection, en usage de 1853 à nos jours.

L’arme porte également les marques suivantes :

FL N°1 : indique que la munition est de type Flobert N°1.

RW : marque du fabricant d’armes René Warnant.

Meyers-Coune (Henri) : fabricant d’armes liégeois (Cheratte) Auteur en 1913 de deux brevets sur un pistolet automatique.

GG

Meyers-Coune

Pistolet de tir à un coup, canon octogonal basculant, fermeture par clef "serpent", détente mexicaine sans pontet, crosse en noyer quadrillée, portant les poinçons réglementaires du banc d’épreuves de Liège, à savoir :

ELG sur étoile dans un ovale couronné : acceptation définitive post 1893.

C étoilé : contremarque du contrôleur post 1877.

Perron : poinçon de l’inspecteur du Banc d’Epreuves en usage de 1853 à nos jours.

R couronné : canon rayé, en usage de 1894 à 1968.

L’arme porte également la marque FL 22C qui signifie qu’elle est de calibre 22 court (6 mm) Flobert.

LD dans un ovale : vraisemblablement les initiales de l’artisan/ouvrier ayant fabriqué la carcasse

Le fabricant : Meyers-Coune Henri, armurier à Cheratte, il dépose en 1913 deux brevets pour un système de pistolet par déflagration des gaz, combinant le recul en trois endroits et à mouvement de détente inverse ainsi qu’un nouveau dispositif applicable aux armes automatiques.

HPH

Meyers-Coune

Pistolet Meyers-Coune jaspé, calibre FL 22C.

Système d’ouverture par clé "serpent".

Canon rayé.

Meyers-Coune

Pistolet Meyers-Coune, calibre 6mm flobert.

Système d’ouverture par clé "serpent".

Canon rayé.

Meyers-Coune

Pistolet de tir à un coup, canon basculant, fermeture Tranter, finition noire, crosse noyer quadrillée, bascule jaspée avec hausse et guidon suisses,  portant les poinçons réglementaires du banc d’épreuves de LIEGE, à savoir :

ELG sur étoile dans un ovale couronné : acceptation définitive post 1893.

C étoilé : contremarque du contrôleur post 1877.

Perron : poinçon de l’inspecteur du Banc d’Epreuves en usage de 1853 à nos jours.

R couronné : canon rayé, en usage de 1894 à 1968.

L’arme porte également la marque .22L qui signifie qu’elle est de calibre 22 long (6 mm) annulaire.

RW : vraisemblablement les initiales de l’artisan/ouvrier ayant fabriqué la carcasse

Belgique : sans commentaire

Le fabricant : Meyers-Coune Henri, armurier à Cheratte, il dépose en 1913 deux brevets pour un système de pistolet par déflagration des gaz, combinant le recul en trois endroits et à mouvement de détente inverse ainsi qu’un nouveau dispositif applicable aux armes automatiques. En annexe extrait d’un catalogue de 1909 de la manufacture d’armes L. Ancion-Marx (LAM) ou la même arme figure sous la référence 23TH.

HPH

Meyers-Coune

MEYERS-COUNE Henri armurier à Cheratte, en 1913 il dépose deux brevets en Belgique pour un pistolet automatique par déflagration de gaz combinant le recul en trois endroits et à mouvement de détente inverse ainsi qu'un nouveau dispositif applicable aux armes automatiques.

L’arme présentée est un pistolet de tir de type Flobert à détente mexicaine qui n'a rien à voir avec les brevets ci-dessus.

GG

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